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sclerose en plaque

La symbolique de la sclérose en plaque (SEP)

 

La sclérose en plaque est une maladie auto-immune qui touche 2 fois plus souvent les femmes que les hommes, de 20 à 40 ans en priorité.

Selon l'Arsep, en France, 100 000 personnes sont touchées par la sclérose en plaques (environ 5000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année)  pour 2,3 millions de malades dans le monde.

 

Pour les membres du Cridomh, le profil psychologique des personnes atteintes par la sclérose en plaque est particulièrement clair, ce qui nous fait dire que cette maladie a un sens symbolique précis.

 

Le sujet touché par la SEP n'ose pas imposer sa stratégie personnelle (transgression des interdits)

le sujet ne s’affranchit pas, il ne s’autorise pas à se démarquer d’une tutelle pour réaliser son projet comme il l'entend.

Enfant le sujet n'a pas appris à se détacher de la tutelle de ses parents. Il n'a pas appris à se donner le droit de vivre une vie différente de celle de ses parents, sans en ressentir de culpabilité.

Une émancipation définitive est nécessaire pour que les symptômes disparaissent et ne réapparaissent pas.

 

Exemples :

« Ma fille ne regarde pas ce garçon car il n’est pas noble comme nous. »

Quelques semaines plus tard, la névrite optique gauche de la jeune fille lui permet symboliquement d'éviter de regarder le garçon.  Symboliquement, elle évite un conflit avec ses parents.

 

Une fille de 10 ans n'est pas autorisé à voir son parrain adoré avant sa mort car il est en mauvais état. Il y a une souffrance, mais en enfant parfaite elle va enfouir ce mauvais souvenir.

La sclérose s’installe à son mariage. A la naissance de son enfant car il n’y a pas de parrain elle fait une poussée, et ainsi de suite, à chaque fois où un parrain aurait dû être présent.

 

Quand le sujet prend une décision, il se dit toujours « papa va aimer cela ou maman ne va pas aimer cela ».

Il fait toujours référence à ses parents dans ses décisions. Chez le sujet marié, c'est le mari ou la femme autoritaire qui prend un rôle de parent symbolique.

 

Un remède : SE REBIFFER !

 

Quand le sujet est soumis à un différend avec ses parents il n'a souvent que 2 solutions, mais aucune ne lui convient : se soumettre ou transgresser l'avis de ses parents.

Dans les 2 cas il risque de faire une poussée de sclérose en plaque.

Idem, si la personne a été poussée par quelqu’un d’autre à transgresser un interdit, comme par exemple un père spirituel,un patron ou un médecin.... mais qu'elle n'a pas travaillé sur le conflit, elle fera également une poussée de SEP.

Pour que la maladie régresse définitivement, et pour éviter de nouvelles poussées, un travail en profondeur d'autonomisation doit se faire pour que le sujet assume réellement son autonomie sans risquer de faire une rechute de la maladie. Quand la soumission est ancrée de manière profonde et insidieuse, un travail de psychothérapie au long court est nécessaire.

Notez que dans certains cas, la poussée arrivée exactement 6 mois après l'événement conflictuel. Dans quelques cas, le processus auto-immun étant lent, les symptômes n'apparaitront que 7 à 12 mois après le choc.

 

Pour nous, ce n'est pas un hasard si un des médicaments contre la SEP s'appelle le Rebif. Le message est à faire passer à tous les malades : apprenez à vous affirmer et à vous libérer du regard de vos parents, ou des personnes qui ont une autorité sur vous.

 

Une maladie voisine : le syndrome de Guillain-Barré.

 

Une affection proche de la sclérose en plaque est le syndrome de Guillain-Barré ou polyradiculonévrite de Guillain-Barré. Cette maladie s'attaque à la gaine de myéline qui protège les nerfs périphériques, alors que dans la sclérose en plaque c'est la gaine de myéline du système nerveux central qui est attaquée.

 

La symbolique est la même dans les deux cas. Dans le syndrome de Guillain-Barré on retrouvera un sujet qui s'est soumis à la volonté d'un parent, ou qui a transgressé un interdit. L'obligation vaccinal peut déclencher ce type de syndrome si le sujet refuse de se faire vacciner, ou s'il se soumet à la vaccination contre son grès. Pour nous ce n'est donc pas le vaccin qui est dangereux, mais l'impossibilité pour le sujet de faire ses propres choix et d'en assumer les conséquences.

 

Témoignage :

Dans certains cas la guérison de symptômes de la SEP peut être immédiate comme le raconte cette patiente dans cette vidéo à la suite de la lecture du livre du Dr Thomas Lamotte « Guérir avec Thérèse » :

 

 

 

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